Lorsque les gens sont en bonne santé, les sociétés prospèrent. Donner les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être de tous est une composante essentielle du développement durable. Beaucoup a été fait ces dernières années pour réduire l'impact du VIH/SIDA, du paludisme et d'autres maladies, mais les progrès réels ne se matérialiseront que lorsque chacun, y compris les femmes et les enfants, aura accès à des soins de qualité.

Comment le sport répond à cette problématique ?

Le sport est bon pour la santé. De nombreuses preuves scientifiques et recherches médicales montrent que les activités sportives réduisent l’apparition de nombreuses pathologies (cancers, maladies cardiovasculaires, diabète, obésité, etc.).

Elles améliorent également la santé mentale (anxiété, dépression, traumatisme, etc.) et contribuent au bien-être et au développement personnel de tous les individus, y compris les enfants et les femmes. 

Une activité physique, même modérée, de 20 à 30 minutes, trois fois par semaine, a des effets protecteurs durables. L’inactivité physique a été identifiée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme le quatrième facteur de risque de mortalité dans le monde ; l’OMS reconnaît l’impact préventif et thérapeutique du sport.

Projet relatif à l'objectif 03

SKILLZ For Life : pour lutter contre le paludisme et le VIH / SIDA

Déployé au Nigéria depuis 2015, « SKILLZ For Life » est un programme de prévention dédié au paludisme et au VIH / SIDA initié par l'ONG Special Olympics Nigéria en partenariat avec l'ONG Grassroot Soccer.